J'ai obtenu un Diplômé de l’Université de Nice : un master en "Psychologie Clinique et Médiations Thérapeutiques par l’Art".

Au début de ma carrière, j’ai effectué des consultations à l’Hôpital l’Archet, auprès de patients en situation de handicap (soit léger que lourd). Ces personnes présentaient un vaste spectre de troubles liés à leur apparence physique, à l’humeur changeante et aux angoisses, suite à un traumatisme psychique et/ou physique. J’ai travaillé, en outre, avec des patients en phase de réhabilitation au sein d’un centre de consultations en Addictologie sur Nice. 

À présent, je conduis des psychothérapies dans la « Maison des Adolescents », au sein du centre Marina Picasso, avec des jeunes gens âgés de douze à dix-huit ans, qui souffrent de symptomatologies variées, reflet des fêlures de la société contemporaine.

Je travaille aussi en tant que psychologue-clinicien auprès de la Fondation Lenval, un Hôpital pour enfants de Nice.

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Actuellement, je reçois des adultes, des adolescent.e.s et des enfants, auprès du Pôle Santé Stradivarius de Nice. Le respect déontologique du métier de psychologue me tient à cœur. Je suis mes patients sur des courtes, des moyennes ou bien des longues périodes, selon leurs demandes, leurs besoins et leurs problématiques.

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Mon approche psychodynamique met l’accent sur les conflits qui adviennent lors de la confrontation de l’individu aux fondements de l’existence, à savoir : le sentiment de liberté, l’isolement, sans parler du confinement, l’absence de sens de la vie et la peur de la mort. Mon approche met en évidence des questionnements relatifs à l’instant présent, aux exigences émotionnelles et aux expectatives par rapport à soi-même, aux autres et, plus en général, au monde externe. Sur la base de cette approche psychodynamique, qui est la mienne, la vision du psychisme s’articule autour de forces intérieures, de motivations et de craintes bien enfouies, de nature à la fois consciente et inconsciente. Je me base fondamentalement sur les premières interactions, les plus importantes, au moment de son enfance et de son adolescence.

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Un thérapeute trop actif décharge le patient de sa responsabilité ; un thérapeute trop passif véhicule un sentiment d’impuissance .

Docteur Irvin Yalom